Accueil Plan du site Favoris Liens Recherche Contact

RUBRIQUES

Dourous
Al Bayan
Anti Antounna
Qutuf
Al Janna
Kuntum...
La bulle France
 
AUTRES ARTICLES


Femmes d'islam

Violence aux femmes : origines et raisons

 
VOTER


Voter pour le site

Votez pour mon site ! Votez pour mon site ! Votez pour mon site !
 
 
ANTI, ANTOUNNA : la musulmane faite femme
 

Violence aux femmes : origines et raisons

Au moins 25.000 cas de viols en France chaque année
Un peu plus de 8.000 seulement sont recensés "officiellement"
Une femme violée toutes les deux heures
91 % des personnes condamnées sont de nationalité française
16,8 % appartiennent à des professions médicales et paramédical
13,1 % exercent les métiers de l'enseignement, de l'animation ou de la petite enfance
14,8 % ont des responsabilités d'encadrement (PDG, ingénieur, énarque, gérant de bar, entrepreneur, chef de service, ...)
12,7 % exercent les métiers de la loi et de l'ordre (policier, militaire, gendarme, attaché parlementaire, etc.)

... soit 57,4 % des personnes condamnées.

Le violeur n'est très majoritairement ni étranger, ni célibataire (vivant seul), ni asocial, ni impulsif. Dans la plupart des cas, il est parfaitement intégré à la société, marié (ou vivant maritalement) avec des enfants. Le statut socio-économique n'est pas du tout un facteur déterminant.

Au moins 2.000.000 de femmes victimes de violence conjugale en France
400 meurent sous les coups de leur conjoint chaque année, soit plus d'une femme par jour
( Droit de Savoir , mars 99, TF1)

source                          http://www.sosfemmes.com/violences/viol_chiffres.htm

En Suisse:
Une étude représentative publie aujourd'hui ces chiffres après avoir interrogé 1500 femmes dans toute la Suisse.

Une femme sur cinq a subi de la violence physique ou sexuelle dans sa vie de couple. Deux femmes sur cinq ont connu de la violence psychologique.

source                          http://www.prevention.ch/haltealaviolence.htm#chapitre1

  • Dans tous les pays où l'on a fait des études fiables à grande échelle, entre 10 et 50% des femmes disent avoir été physiquement agressées par un partenaire intime au cours de leur vie.*
  • Des études en population révèlent qu'entre 12 et 25% des femmes ont eu dans leur vie un partenaire ou ex-partenaire intime qui les ont forcées, ou ont essayé de les forcer à avoir des rapports sexuels.*
  • En 1998, la violence entre personnes était la dixième cause de décès chez les femmes âgées de 15 à 44 ans.
  • La prostitution forcée, la traite des êtres humains et le tourisme sexuel sont en augmentation. D'après les données et les statistiques dont on dispose sur la traite des femmes et des enfants, 500 000 femmes seraient ainsi entrées dans l'Union européenne en 1995.

source                          Site de l'organisation mondiale de santé  

Cela se passe en Europe. La violence exercée contre les femmes par un partenaire de sexe masculin y atteint des dimensions hallucinantes. Au sein du foyer, les brutalités sont devenues, pour les Européennes de 16 à 44 ans, la première cause d'invalidité et de mortalité avant même les accidents de la route ou le cancer...

Selon les pays, entre le quart et la moitié des femmes sont victimes de sévices. Au Portugal, par exemple, 52,8 % des femmes déclarent avoir été l'objet de violences de la part de leur mari ou de leur concubin. En Allemagne, trois femmes sont assassinées tous les quatre jours par les hommes avec lesquels elles vivaient, soit près de 300 par an. Au Royaume-Uni, une femme est occise dans les mêmes circonstances tous les trois jours. En Espagne, une tous les quatre jours, près de 100 par an. En France, à cause des agressions masculines domestiques, six femmes meurent chaque mois - une tous les cinq jours -, un tiers d'entre elles poignardées, un autre tiers abattues par arme à feu, 20 % étranglées et 10 % rouées de coups jusqu'à la mort ... Dans l'ensemble des quinze Etats de l'Union européenne (avant l'élargissement à vingt-cinq), plus de 600 femmes meurent chaque année - presque deux par jour ! - sous les brutalités sexistes dans le cercle familial.

Le profil de l'agresseur n'est pas toujours celui qu'on imagine. On a tendance à associer cette attitude meurtrière à des personnes peu éduquées, issues d'un milieu défavorisé. C'est une erreur. Le drame de Marie Trintignant, tuée le 6 août 2003 par son compagnon, artiste célèbre, en apporte une preuve. Un rapport du Conseil de l'Europe affirme que « l'incidence de la violence domestique semble même augmenter avec les revenus et le niveau d'instruction  » . Il souligne que, aux Pays-Bas, « presque la moitié de tous les auteurs d'actes de violence à l'égard des femmes sont titulaires d'un diplôme universitaire ». En France, selon les statistiques, l'agresseur est en majorité un homme bénéficiant par sa fonction professionnelle d'un certain pouvoir. On remarque une proportion très importante de cadres (67 %), de professionnels de la santé (25 %) et d'officiers de la police ou de l'armée.

Une autre idée reçue consiste à penser que les violences de genre sont plus fréquentes dans les pays « machistes » du sud de l'Europe que dans les Etats du nord. Là encore, il faut pondérer. La Roumanie apparaît, certes, comme le pays européen où la violence domestique contre les femmes est la plus grave : chaque année, en moyenne, pour chaque million de Roumaines, 12,62 sont tuées par leurs partenaires masculins. Mais, dans le sinistre palmarès des pays les plus féminicides, immédiatement après la Roumanie se situent des pays dans lesquels, paradoxalement, les droits des femmes sont les mieux respectés, comme la Finlande , où tous les ans, pour chaque million de Finlandaises, 8,65 femmes sont tuées dans le huis clos domestique, suivie par la Norvège (6,58), le Luxembourg (5,56), le Danemark (5,42) et la Suède (4,59), l'Italie, l'Espagne et l'Irlande occupant les dernières places.

source                          http://www.monde-diplomatique.fr/2004/07/RAMONET/11299

Chaque jour en Europe, une femme sur cinq est victime de la violence et la commission condamne cette violence en tant que violation générale des droits de la personne, du droit à la vie, de la sécurité, de la dignité et de l'intégrité physique et mentale. Elle dénonce également l'ampleur prise par la traite et la prostitution dans les Etats membres du Conseil de l'Europe par le biais de réseaux internationaux qui constituent ainsi l'un des grands secteurs de la criminalité organisée.

Rapport Commission sur l'égalité des chances pour les femmes et les hommes Rapporteuse: Mme Ruth-Gaby Vermot-Mangold, Suisse, Groupe socialiste Conseil de l'Europe

source             http://www.eurowrc.org/01.eurowrc/06.eurowrc_fr/07fr_ewrc.htm#A.La%20violence%20conjugale

 

Haut de page

 
Imprimer l'article Réagir à l'article Envoyer à un ami
© Copyright 2010
Design by Netwebmasters.fr.st - Tous droits réservés.